Édouard Philippe vient d’être nommé Premier ministre et il est prêt à se battre pour ses idées. Tel Rocky Balboa, le nouveau chef du gouvernement distribuera les coups au premier qui se mettra en travers de son chemin politique...
Un sportif déterminé
Tout avait commencé par un pari et voilà 3 ans que le nouveau Premier ministre s’est pris d’amour pour la boxe. Crochet du droit et esquive font aujourd’hui parti de son quotidien. En effet, trois fois par semaine le maire du Havre mouille le maillot dans la salle de Mont-Gaillard, située dans le nord de la ville.
#EdouardPhilippe monte sur le ring. Attaque, balayage, crochetage, esquive, neutralisation, full-contact. Que de possibilités! #Macron #Boxe pic.twitter.com/cYrLadbxjt
— Youkounkoun (@Youkounkoun75) 15 mai 2017
La boxe lui permet de contrôler ses émotions et surtout évacuer les tensions liées au monde politique. Il est certain que ce sport lui sera utile pour les cinq prochaines années.
Un ring de boxe à Matignon
Édouard Philippe ne sera pas dépaysé à Matignon. En effet, le chef du gouvernement n’est pas le premier à être un grand fan de boxe. Manuel Valls, avant lui, avait fait aménager une salle de boxe au cœur même de Matignon. L’ex-Premier ministre passait de longues heures sur le ring pour évacuer le stress et se concentrer sur ses idées. Une nouvelle qui a ravi Édouard Philippe qui pourra sûrement continuer sa routine boxe. Mais si l’admirateur de Mohamed Ali n’a pas peur de prendre des coups, il affirmait à France Bleu Normandie il y a quelques semaines, qu’il devra modérer ses combats. « Ce serait curieux si j'arrivais à la mairie (aujourd’hui, Matignon), avec un nez cassé et un œil au beurre noir. »
Coup pour coup avec Sarkozy
En politique, il faut avoir du tact, mais on peut parfois perdre son calme. Le Premier ministre en a déjà fait les frais. En 2002, encore jeune militant, Édouard Philippe a eu le malheur de contrarier les plans de Nicolas Sarkozy alors ministre de l’Intérieur. L’ancien président l’a très mal pris et l’homme réputé pour avoir le sang chaud passe alors un savon à Édouard Philippe. Dispute et violente bousculade s'en suivent. Édouard Philippe lui rend coup pour coup. Il expliquera plus tard « il est sanguin et moi, je n'aime pas qu'on m'engueule. » Emmanuel Macron est prévenu.
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